En partenariat avec le festival USINA, Kultur | lx – Arts Council Luxembourg aura le plaisir d’inviter une délégation de professionnel.le.s de l’industrie musicale européenne les vendredi 31 mai et samedi 1er juin afin de (re)découvrir et d’établir des liens avec des artistes et professionnel.le.s luxembourgeois.es évoluant dans le domaine des musiques actuelles (Rock/Pop/Electro/R’n’B/Hip-Hop). En plus des festivités prévues à l’occasion du festival USINA à Neischmelz, des activités additionnelles se dérouleront au 1535 Creative Hub à Differdange ainsi qu’au CCRD opderschmelz à Dudelange.

Durant ces deux journées de Focus, les invités auront l’opportunité d’assister à des spectacles, de rencontrer les acteurs locaux de la scène musicale et d’explorer le potentiel créatif du Grand-Duché dans le domaine de la musique. Le programme comprendra également une session de pitching et de speedmeeting, permettant ainsi aux musicien.ne.s et professionnel.le.s locaux de se présenter et de partager leurs projets directement avec les délégués internationaux.

Voici un bref aperçu du programme (plus de détails à suivre) :
Vendredi 31 mai – Réception de bienvenue et showcase au 1535 Creative Hub
Samedi 1er juin – Session de pitching et de speedmeeting au CCRD opderschmelz | Festival USINA avec CHAiLD, C’est Karma, Bartleby Delicate, Ryvage, Culture the Kid, CRO, Joris, English Teacher and Kids et Buns.

À propos du festival USINA :
USINA est un festival collaboratif sur deux jours, organisé par la municipalité de Dudelange, De Gudde Wëllen et den Atelier. Il offre une programmation artistique diversifiée, mettant en avant des artistes locaux et internationaux dans les domaines de la musique, du théâtre, de la danse et des arts visuels. Découvrez la programmation complète ici.

Depuis plusieurs années, Kultur | lx – Arts Council Luxembourg et le festival Like A Jazz Machine collaborent pour la mise en valeur de la scène jazz luxembourgeoise. Les 10 et 11 mai prochains, Kultur | lx invitera une délégation de professionnel.le.s venu.e.s de l’étranger à découvrir les propositions luxembourgeoises du festival.

Like A Jazz Machine présentera deux (pas si) nouveaux venus, Jambal et LINQ, qui apportent un vent de nouvelles inspirations musicales sur la scène locale, ainsi que la collaboration du saxophoniste Maxime Bender avec le producteur Napoleon Gold. Like A Jazz Machine présentera aussi le résultat de trois résidences, composantes fortes du festival : la collaboration de la vocaliste Claire Parsons avec le batteur Ziv Ravitz et le guitariste Eran Har Even, le nouveau projet On the Edge du trompettiste Daniel Migliosi avec son quintet de choc, et la réunion de Pascal Schumacher, Greg Lamy, Marc Demuth et Jeff Herr, quatre noms bien connus de la scène luxembourgeoise. Pour finir en beauté, Michel Meis et son projet Kolibri feront danser le public jusqu’au bout de la nuit !

Comme dans chaque Focus organisé par Kultur | lx, la délégation invitée pourra donc (re)découvrir ces artistes et participer à des activités de réseautage pour venir à la rencontre des professionnel.le.s, programmateur.trice.s et artistes de jazz du Luxembourg. Entre autres, Kultur | lx organisera une séance de speedmeeting le 11 mai 2024 pour permettre aux délégations luxembourgeoise et internationale de dialoguer et d’échanger sur des possibilités futures de diffusion et de collaboration.

Découvrez le programme complet du festival ici.

Après 6 bourses octroyées dans les domaines des Arts visuels à Vera Kox, Eric Schumacher, Yann Yannicchiarico, à Anne-Mareike Hess et Elisabeth Schilling pour le spectacle vivant et Albena Petrovic pour la musique, les comités de sélection de Kultur | lx – Arts Council Luxembourg ont octroyé, en 2023, 5 bourses dans le domaine des Arts visuels :

• Baltzer Bisagno : Dove ? Perché ? Per chi ?
Dans le devenir actuel de la création artistique du duo Baltzer Bisagno, un cycle s’est accompli et, tout en étant en cours, d’autres chemins se manifestent ou se précisent. Il est ainsi fondamental, et même constitutif, d’inscrire cette période de six ans de recherches et de réalisations importantes, comme acte de sédimentation des questionnements menés jusque-là sous une perspective critique complexe. Il s’avère qu’un livre représente un moment charnière dans le temps de la création en ce qui concerne processus et finalités. Il fait œuvre.
La collaboration avec des autrices – commissaires esquissera des cheminements inédits, comme ceux appelés par l’œuvre Arabesque.

• Ivana Cekovic
À travers l’édition d’un catalogue trilingue (anglais, français et serbe) de 120 pages, Ivana Cekovic souhaite proposer un panorama des différentes périodes de son travail incluant des cycles de recherches picturales, du travail vidéo, des projets interdisciplinaires urbains qui, en plus de marquer sa carrière artistique ont aussi marqué l’Histoire du Luxembourg.
Avec les contributions de Dr Harry Lehmann philosophe et chercheur à l’Université de Luxembourg, Anastasia Chaguidouline, Directrice artistique du Cercle Cité, Dr Nikola Suica, Professeur à la Faculté des Beaux-Arts*, Université des Arts, Belgrade, ancien président du Conseil d’administration du Musée d’Art Contemporain de Belgrade, Ante Glibota (1945-2020) historien d’art et d’architecture, vice-président de l’Académie européenne des sciences, des arts et des lettres.

• Catherine Lorent : RELEGATION SOUNDS
RELEGATION SOUNDS, Édition spéciale sonore et documentation en ligne à l’occasion de 10 ans de RELEGATION de Catherine Lorent au pavillon du Luxembourg, 55ème Biennale de Venise 2013.
Montré la première fois à la 55ième Biennale de Venise 2013 en exposition individuelle au pavillon luxembourgeois, RELEGATION fête son dixième anniversaire en 2023 et Catherine Lorent aimerait constituer un reenactment sous forme d’une publication sonore et une documentation en ligne – en collaboration avec le performeur Natasa Grujovic (accordéon), Martin Eder (guitare) et Christian Neyes (ingénieur du son).

• Arny Schmit : Beyond Nature
À l’occasion de son exposition Beyond Nature à la Galerie Reuter Bausch, Arny Shmit a édité un ouvrage portant le même nom.

• Trixi Weis
Alors que les œuvres de l’artiste sont visibles dans une quarantaine de catalogue et magazine depuis le début de sa carrière en 1994, aucune publication monographique n’a jamais été éditée. Elle espère, à travers cette publication, pouvoir fixer le fil de son travail dans un ouvrage.

 

Récente publication

Cover My Opera World by Albena Petrovic

My Opera World d’Albena Petrovic, L’octanphare, 25€
Lauréate en 2022 de la Bourse Documentation et Publication d’Artistes, Albena Petrovic a publié son ouvrage en novembre 2023, entrouvrant la porte de son univers artistique à travers l’expertise et le regard de journalistes, musicologues ou chercheurs. Ce livre s’explore avec les yeux, les oreilles et le toucher, pour qui souhaite découvrir, comprendre et explorer l’immensité créative de l’œuvre vocale, résolument féminine et contemporaine d’Albena Petrovic.

A l’occasion de la présence luxembourgeoise à la prochaine foire du livre de Leipzig, nous vous présentons les dernières publications de littérature luxembourgeoise en langue allemande ainsi que les dernières nouveautés des auteur.rice.s qui donneront une lecture au naTo le samedi 23 mars à 21h00 dans le cadre de la Leipzig liest (*).

*Ulrike Bail, im halblichten geäst deines atems
Conte Verlag, 2023, Poésie, allemand

Dans son recueil de poésie im halblichten geäst deines atems, Ulrike Bail découvre, lors de ses promenades quotidiennes avec son chien, des réseaux culturels dans la mousse, des processus symboliques entre orchidées et champignons et trouve des mots surprenants. Ses poèmes explorent les multiples relations entre culture et nature – en filigrane et de manière sonore.

 

Ulrike Bail, REDE ZUR LITERATUR 13
CNL, 2024, allemand

La poésie d’Ulrike Bail contient souvent des références aux champs sémantiques de la flore et de la faune, comme dans les recueils wundklee streut aus (2011), die empfindlichkeit der Libelle (2017) ou im halblichten geäst deines atems (2023). Dans le présent discours sur la Littérature, sur fond de guerre en Ukraine, elle fait référence à une espèce de coquillage originaire de la côte normande et l’oppose à la rupture de civilisation comme métaphore de la vie tout autant que de la poésie. Le résultat est un texte engagé intellectuellement et émotionnellement, d’une grande finesse linguistique, dans lequel la nature et la culture ne sont pas pensées comme opposées, mais se réfèrent l’une à l’autre.

 

*Raoul Biltgen, Meine Insel. Eine Robinsonade
Hydre Editions, octobre 2023, Roman, allemand

Sur une île déserte, un homme se tient sur la plage et raconte une blague sur un homme sur la plage d’une île déserte. Pourtant, il n’a pas de quoi rire. Le naufragé, qui s’appelait autrefois Jean-Marie et se fait maintenant appeler Robinson, s’est créé une nouvelle vie : il a fait des provisions, construit une cabane – et érigé des clôtures. Parce que personne ne doit lui prendre ses biens péniblement accumulés. Les pirates par exemple. Ou même des mangeurs d’hommes, comme chez Robinson Crusoé. Qui sait combien de temps on reste seul sur une île déserte ?

 

Das Bau (Eva Herunter, Katharina Hummer, Julia Obleitner) Hrsg., Wild Site
Point Nemo Publishing, printemps 2024, allemand/anglais

Wild Site va à la découverte des sous-produits éphémères d’une ville en constante évolution : espaces vides, friches, espaces intermédiaires et résiduels, « lieux sauvages ». Cinq entretiens avec des chercheurs en biologie, géologie, climatologie, botanique, architecture du paysage, urbanisme et architecture sont accompagnés d’un travail photographique de Zara Pfeifer. Publié par das BAU : Eva Herunter, Katharina Hummer et Julia Obleitner.

 

Fabienne Faust, Die Häuser von drüben
Éditions Phi, 2023, nouvelles, allemand

Ce sont des échoués dans le souffle rapide des métropoles-refuges. Ce qui reste de leurs maisons se désagrège dans la mémoire. Ils sont des observateurs de tempête, partis au loin pour voir Scampia, se réconcilier avec le passé ou faire un scoop dans un journal. Ils font le deuil de ce qui reste. Ils veulent qu’on se souvienne d’eux, comme l’Egypte d’Alaa al-Aswany, comme Janina Rachmaninov de son rêve de printemps.

Samuel Hamen, REDE ZUR LITERATUR 12
CNL, 2023, allemand

Sous le titre volontairement ambigu de Verhaltensweisen, Hamen explore des paysages réels et enrichis par l’art, la trop fréquente précarité du travail (de recherche) en sciences humaines, les gens et ce que signifie être un écrivain parmi eux. Il en résulte une réflexion poétologique émouvante sur le pouvoir et l’impuissance de la littérature, sur le statut de l’homme de lettres dans une société qui se définit par des valeurs matérielles et – en dépit de toutes les difficultés et de tous les obstacles – sur l’effet renforçant et réjouissant de l’écriture.

Samuel Hamen, Jeff Schinker, Elise Schmit, Larisa Faber, Theater théâtre theatre Theater 1
Hydre Editions, novembre 2023, Théâtre, allemand, anglais, français, luxembourgeois

Dans le cadre du cycle Théâtr/e, de grandes voix littéraires luxembourgeoises présentent de nouvelles pièces de théâtre. La pièce So dunkel hier d’Elise Schmit raconte l’histoire de l’ex-Gauleiter Simon en route pour le Luxembourg où il sera jugé. Dans PatrIdiot de Jeff Schinker, deux actrices répètent une pièce sur la migration et le racisme au Luxembourg. De Geescht ou D’Mumm Séis de Samuel Hamen est une adaptation de la pièce du même nom de Dicks (Edmond de la Fontaine), le fondateur du théâtre luxembourgeois. Dans 340x de Larisa Faber, il s’agit de la vie d’un homme qui est divisée en trois niveaux temporels et qui révèle des transactions douteuses et des traumatismes d’enfance.

*Guy Helminger, Das Geräusch der Stillleben. Stories
capybarabooks, octobre 2023, Nouvelles, allemand

Le bruit des natures mortes est un jeu de méli-mélo artistiquement tissé. Les personnages secondaires d’une histoire deviennent les personnages principaux d’une autre, les objets changent de mains d’un récit à l’autre. À un moment donné, la vie silencieuse a une inclinaison de 56,75 degrés et ne peut plus être arrêtée.

Wilhelm Holzbauer, Holzbauer – Schriften zur Architektur
Point Nemo Publishing, printemps 2024, allemand

La publication Holzbauer – Schriften zur Architektur rend hommage à l’héritage littéraire de l’un des grands noms de l’architecture autrichienne d’après-guerre, dont l’héritage architectural remplit déjà plusieurs livres. Toute sa vie, cet architecte polyvalent, à la fois homme de culture et de lecture, s’est consacré à l’écriture, avec profondeur, verve et humour. Les éditeurs ont fait leur choix parmi un grand nombre d’ouvrages : des écrits autobiographiques, des essais sur ses propres constructions, des essais et des textes sur l’architecture en général, accompagnés de photographies et de croquis.

Faby Schintgen, Blaustufen
Op der Lay, 2023, roman, allemand

Dans son premier roman, Faby Schintgen (*1982, Luxembourg) dépeint de manière provocante et humoristique une image vivante de l’amour, de la famille et de l’épanouissement personnel. Sa protagoniste se bat pour obtenir un nouvel espace de liberté et a le courage de changer. Elle espérait que ses rêves se réaliseraient, mais l’image idéalisée du sacrifice maternel ne peut pas répondre au besoin d’épanouissement personnel de Mel. Soudain, tout bascule et elle doit définitivement se débarrasser de sa cape de Supermom et de sa vision du monde en noir et blanc.

Raymond Schaack, Im Banne des Unendlichen
Éditions Phi, 2023, poésie, allemand

Ce recueil de poésie est la vingtième œuvre de l’auteur, le deuxième volume de haïkus japonais et le troisième recueil de poésie publié par Phi, après Masques magnétiques (2016) et Mahlstrom Zeit (2019).

Margret Steckel, Mutterrache.
capybarabooks, 3ème édition, novembre 2023, Nouvelles, allemand

Dans son recueil de nouvelles Mutterrache, Margret Steckel parvient à aborder la question de la culpabilité et des manquements au sein d’une famille, sans prendre parti, grâce à l’enchevêtrement habile des fils de l’intrigue. Bien qu’il n’y ait personne dans cette histoire qui puisse finalement s’affranchir de la culpabilité, l’autrice permet au lecteur de reconstruire le déroulement de la tragédie à l’aide des flashbacks et de se faire son propre jugement – sans condamner, car Margret Steckel aime trop ses personnages pour cela. Même s’ils sont difficiles.

Anna Valentiny, Hortus Alienum – Scenographies of Nobody’s Voyage
Point Nemo Publishing, printemps 2024, allemand/anglais

Le premier livre de l’auteur Anna Valentiny Hortus Alienum – Scenographies of Nobody’s Voyage est une narration sur la condition humaine. La protagoniste du récit, Nobody, ne peut échapper à son récit en aucun acte et doit parcourir, scène après scène, le paysage artificiel du parc Hortus Alienum. Elle est accompagnée par le chœur.

Nora Wagener, REDE ZUR LITERATUR 11
CNL, 2023, allemand

Le titre suggère l’incohérence, l’absence de but, le blabla sans engagement… Un subterfuge parfaitement réussi, car Nora Wagener propose avec ce mince volume une réflexion poétologique riche sur les constitutions de l’écrivain, sur les possibilités (et les limites) de la littérature et sur la capacité de l’écriture littéraire à créer des réalités autodéterminées.

En 2024, Kultur | lx poursuit sa série de cartes blanches. Après une année où l’illustration a dominé notre page d’accueil avec des œuvres de Dirk KesselerIrina Moons et Keong-A Song, suivit par une année dédiée à la vidéo avec des œuvres de Suzan Noesen et Justine Blau, Kultur | lx initie un cycle autour des arts numériques qui débute avec l’œuvre Artificial God de l’artiste et réalisatrice XR luxembourgeoise Laura Mannelli.

« Artifical God est une œuvre numérique créée en collaboration avec une IA. L’IA s’inspire du test de Rorschach pour transposer une série d’illustrations en séquence vidéo. L’œuvre confronte un film culte des années 1920, Metropolis de Fritz Lang, et plus particulièrement son robot humanoïde Futura, à un texte tout aussi culte des années 1980, Le Manifeste Cyborg de Donna Haraway. Alors que le film de Fritz Lang montre pour la première fois un robot au cinéma, c’est l’image de la femme sorcière et maléfique qui est choisie pour incarner un robot capable de provoquer le chaos parmi les hommes. À partir du postulat qui clôt le manifeste Cyborg, Je préfère être cyborg que déesse, je voulais libérer Maria de sa condition de femme prise en étau entre la figure d’une femme sainte vénérée dans sa version humaine et celle d’une femme maléfique et sorcière dans son pendant robot. Ainsi, alors que le film de Fritz Lang suggère que les machines sont capables de contrôle, de manipulation et d’asservissement des hommes, Maria, à travers la figure du cyborg de Donna Haraway, est au contraire capable de s’affranchir de ses systèmes de contrôle pour s’émanciper des catégories rigides, que ce soit en termes de genre, de nature ou de statut social. La vidéo met ainsi en scène l’hypnotique transmutation de Maria en un surpuissant Mecha. Les Mechas sont d’immenses contenants robotiques truffés de technologies qui permettent à leurs hôtes humains d’acquérir des capacités surhumaines. Une façon de dénoncer cette quête incessante de l’homme à vouloir dépasser sa condition humaine pour devenir des sortes de dieux artificiels.  » commente l’artiste.

Découvrez l’œuvre sur la page d’accueil de notre site web.

C’est Karma | Hearts on Windows
Date de sortie du single : 1 décembre | EKIP

Après avoir reçu un accueil chaleureux lors de ses récents concerts, C’est Karma rend la pareille à son public avec son nouveau single « Hearts On Windows », un refuge affectueux et chaleureux en ces temps froids. Karma, lauréate 2024 du Global Project Grant de Kultur | lx, déclare : « Hearts on Windows parle de l’amour idéal. On ferme les yeux et on rêve de conquérir le monde avec cette personne. Dans ce rêve, il n’y a ni douleur ni chagrin. Je ne veux pas chercher à savoir si un tel monde est possible ou non, mais je veux chérir ce rêve et en savourer la pensée, en espérant qu’il ne se brisera jamais. Cette chanson parle d’idéalisme, et cela me donne de l’espoir ».

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Them Lights | YD
Date de sortie du single : 24 novembre

Them Lights est le projet de dark electro-pop du chanteur et producteur Sacha Hanlet, réunissant des réminiscences des années 80 et de l’électro moderne. « YD » (YesterDay) est le quatrième single sorti depuis le début de sa résidence à la Kulturfabrik d’Esch-sur-Alzette. « Le morceau parle d’un appel inattendu au milieu de la nuit d’une connaissance perdue de vue, qui manifeste son désespoir et la volonté d’en finir. Il n’y a pas de résolution lyrique, reflétant la tendance de la vie à apporter du réconfort sans solutions ou résolutions définitives à ses origines. Remarquablement, la musique ne se contente pas d’offrir du réconfort, elle apporte aussi une résolution, capturant les complexités de notre existence », déclare Sacha Hanlet.

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EDSUN | Finally Alive
Date de sortie du single : 17 novembre | Beast Records

C’est avec « Finally Alive » qu’EDSUN à postulé pour la présélection nationale en vue de représenter le Luxembourg à l’Eurovision Song Contest 2024. Dans ce morceau, EDSUN revient sur son parcours de musicien et d’interprète, affirmant que personne ne peut contrer sa motivation à rendre l’impossible, possible. « Finally Alive » a été écrit en collaboration avec les auteurs-compositeurs Jana Bahrich (Francis of Delirium) et Sergio Manique.

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Francis of Delirium | Blue Tuesday
Date de sortie du single : 14 novembre | Dalliance Recordings

« Ce titre nous a permis de revenir un peu à notre son d’origine, des guitares lourdes, un rythme soutenu, de la musique qui fait du bruit. Nous sommes un groupe qui aime vraiment jouer en live, de la musique transpirante, désordonnée et physique, donc il était important que cette chanson fasse partie de l’album », explique Jana Bahrich à propos de « Blue Tuesday », le troisième single de son premier album « Lighthouse », dont la date de sortie est prévue le 22 mars 2024. Le trio assurera la promotion de l’album lors d’une tournée de 21 dates en Europe et au Royaume-Uni en avril et mai 2024.

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Scarlet Anger | Martyr
Date de sortie du single : 10 novembre

« Martyr » est le troisième single et le titre du prochain album de Scarlet Anger. Le groupe de trash metal autour du chanteur Joe Block révèle l’idée derrière la chanson : « les paroles explorent le concept du martyre et la façon dont on se sacrifie pour atteindre ses objectifs personnels. Elles encouragent à affronter les douleurs et les défis de la vie, à surmonter ses peurs et soulignent la nécessité de se libérer des influences négatives et du passé afin de se tourner vers l’avenir ».

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WazToo feat. Émilie Rachel | You Don’t Know Me
Date de sortie du single : 10 novembre | Gahara Records

Depuis plus de 20 ans, WazToo se produit en tant que DJ. Il décrit son style comme de la « progressive house avec éléments EDM ». En plus de ses performances live, WazToo a également acquis une reconnaissance en tant que producteur, publiant plusieurs morceaux à succès qui lui ont valu un public enthousiaste. « You Don’t Know me » a été produit en collaboration avec la chanteuse londonienne Émilie Rachel. Il a également entamé récemment une carrière de présentateur radio sur Eldoradio avec son émission « WazToo Dance » où il présente de la musique 100% électronique en mettant l’accent sur les productions luxembourgeoises.

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Alex Uhlmann | Rainy Day
Date de sortie du single : 3 novembre | Hoernsenmusic

« Rainy Day » est le nouveau single de l’auteur-compositeur-interprète Alex Uhlmann, leader du groupe électronique italien Planet Funk. Le titre est sorti sur le label berlinois Hoersenmusic. « Rainy Day est une chanson que j’ai écrite il y a quelque temps avec Luca Vicini de Subsonica », explique Alex. « Elle parle essentiellement des peurs quotidiennes et de la paranoïa dont nous avons souvent tendance à nous préoccuper de manière disproportionnée. Prendre du recul pour voir la situation dans son ensemble peut nous aider à réaliser qu’en fin de compte, ce n’était qu’un jour pluvieux. Et il y a peut-être même de la beauté dans cela ». Le titre, avec son style rétro des années 80, marque la transition entre les sons de Planet Funk et la dimension intimiste qui caractérisera « Home », le premier album solo d’Alex Uhlmann, dont la sortie est prévue en 2024.

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SAY YES DOG | 3 (Home)
Date de sortie du single : 27 octobre | Diskodogs Records

L’électro-pop de Say Yes Dog est généralement faite pour être dansée. En même temps, leurs mélodies sont capables de sombrer dans une mélancolie tantôt douce, tantôt lancinante. Comme sur leur dernier single « 3 (Home) ». « Cette chanson est l’une des plus importantes de l’album pour nous. Lorsque nous l’avons écrite, le chiffre 3 n’a cessé d’apparaître comme par magie tout au long de la chanson. La mesure est en 3/4, la montée du dernier refrain se fait sur un troisième pas et nous avons finalement obtenu une durée de 3:33 minutes. C’est une chanson qui, tant au niveau des paroles que de la sonorité, montre un côté plus profond et plus vulnérable de nous-mêmes. Elle traite du doute de soi et du fait de se trouver en difficulté dans un monde plein de distractions et de chaos. On cherche la clarté et un sentiment d’appartenance à travers une autre personne qui donne le sentiment d’être chez soi, peu importe où elle se trouve », expliquent les trois membres du groupe à propos de la chanson.

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All Reitz Reserved | Elemental
Date de sortie de l’album : 27 octobre

« Elemental » est une compilation de morceaux instrumentaux qui reflètent les impressions scéniques que Chris Reitz a recueillies en voyageant à travers les paysages naturels sauvages de l’Islande en 2022. Il décompose les émotions et les expériences complexes d’un environnement connu à la fois pour ses paysages nordiques illimités, calmes et ouverts et pour ses paysages accidentés, bruyants et sauvages de chutes d’eau et de formations rocheuses. Marqué par ses expériences, Chris Reitz utilise son violon électrique, de la musique électronique et des enregistrements de terrain captés au cours de son voyage pour créer un mélange de paysages sonores apaisants et de grooves dansants intégrés dans un paysage captivant.

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Alfalfa | Alfalfa
Date de sortie de l’EP : 27 octobre

L’EP éponyme « Alfalfa » des artistes Charel Geimer et Bert Jung met en avant leur capacité à créer des morceaux de pop électronique entrainants, teintés d’indie et agrémentés d’une production créative. Composé de sept titres, « Alfalfa » explore à la fois les côtés lumineux et sombres du son du groupe, oscillant entre des rythmes dansants et des mélodies entraînantes, et des moments de réflexion et de mélancolie. Le projet sert de journal intime poignant, résumant la myriade d’émotions ressenties pendant la période tumultueuse de la pandémie. Le groupe explique : « L’EP est en quelque sorte un journal musical qui capture les émotions, les défis et la maturité auxquels nous avons été confrontés pendant les périodes de confinement. Nous voulons exprimer notre créativité, notre résilience et le lien qui nous unit et qui alimentent notre passion pour faire de la musique ensemble ».

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Culture the Kid | Insolente
Date de sortie du single : 27 octobre

Culture the Kid est un rappeur de 20 ans, d’origine brésilienne. En 2019, il sort son premier single « Living in the Clouds » qui sera suivi d’une impressionnante quinzaine autres titres avant son tout dernier morceau « Insolente ». « Maintenant que la chanson est sortie, je veux en profiter pour dire que le rythme que j’utilise dans ce son est celui du baile funk, qui a été et continue d’être un mouvement culturel marginalisé au Brésil bien qu’il soit l’un des plus écoutés. Il est important de faire le travail nécessaire pour rendre la pareille aux communautés dont nous apprécions la culture et pour valoriser les personnes qui en sont à l’origine. On ne peut pas profiter des sons d’un peuple sans reconnaître le contexte souvent douloureux qui l’englobe », déclare Culture the Kid à propos de la chanson. 2023 a été une année extraordinaire pour le jeune artiste : il a remporté le prix de la meilleure performance live au « Screaming Fields Festival », a joué en première partie de la chanteuse belge Selah Sue lors de son spectacle à Wiltz et a fait sa première apparition en dehors du Luxembourg avec un concert au « Pelpass Festival » à Strasbourg où Culture the Kid a surpris le public du festival et a consolidé son statut d’artiste énergique et captivant.

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Rome | Live in Kyiv 2023
Date de sortie de l’album : 6 octobre | Trisol

En février 2023, Rome s’est embarqué dans ce que Jérôme Reuter appelle « la mission live la plus importante, et de loin la plus dangereuse, de l’histoire du groupe ». Exactement un an plus tôt, en février 2022, alors que les troupes de Poutine étaient déjà aux portes de l’Ukraine, Jérôme Reuter avait ignoré les avertissements de voyage et joué plusieurs concerts en solo dans ce pays. Il avait également donné sa parole à ses fans de Kiev qu’il reviendrait avec le groupe au complet dès que possible. Cela s’est passé quelques jours avant que la Russie ne déclenche une guerre totale contre l’Ukraine. Un an plus tard, alors que la guerre faisait toujours rage, Reuter a donné deux concerts en Ukraine, malgré les restrictions de voyage et les attaques régulières à la roquette sur la capitale du pays. Rome est ainsi devenu le premier groupe étranger à donner un spectacle complet en Ukraine pendant la guerre. Cet enregistrement historique capture ce moment unique dans l’histoire du groupe.

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C’est à l’artiste Claudia Passeri que Kultur | lx – Arts Council Luxembourg a offert une carte blanche pour la conception de sa carte de voeux 2023. L’oeuvre, sous forme numérique a été déclinée sous la forme d’une carte physique.

Claudia Passeri créée des pièces au rapport intime et ambigu avec l’environnement dans lequel elles sont conçues, questionnant ainsi notre perception du lieu et de l’espace. Sa réflexion a une dimension néo-romantique qui cherche, souvent avec ironie, à révéler les mécanismes qui activent la création et transforment notre regard sur le monde.

Cette vidéo a été créée dans sa cuisine en Ombrie le 3 novembre 2023.

Découvrez l’œuvre sur la page d’accueil de notre site web et sur nos réseaux sociaux. (FacebookLinkedInTwitterInstagram)

La troisième édition de ce focus Arts visuels s’est confortablement installée dans l’agenda de la Luxembourg Art Week. Les cinq artistes sélectionnés par la curatrice autrichienne Mirela Baciak ont accueilli quatorze professionnels issus de quatre pays différents qui s’étaient déplacés afin de découvrir la scène luxembourgeoise de l’art contemporain. Ces rencontres ont donné lieu à des échanges nourris que Kultur | lx s’emploie à développer dans une perspective de long terme.

Rendez-vous était donné au Mudam Luxembourg – Musée d’art contemporain Grand-Duc Jean pour accueillir les quatorze curateurs, directeurs de centres d’arts, critiques et experts de l’art contemporain venus d’Autriche, d’Allemagne, de Belgique et de France qui ont été invités par Kultur | lx. Un programme de deux jours et demi, alternant visites de studios d’artistes, de lieux associatifs et d’institutions, conférences-débats et échanges informels, leur était proposé afin qu’ils se familiarisent avec les acteurs qui font l’actualité de l’art contemporain au Luxembourg.

Le cœur du réacteur d’un Focus – et sans doute sa partie la plus attendue par les professionnels et les artistes – réside dans les visites de studios d’artistes, ou, lorsque ceux-ci sont établis à l’étranger, dans la présentation de leur portfolio. Cette année, Mike Bourscheid, Serge Ecker, Sophie Jung, Claudia Passeri et Nora Wagner ont été sélectionnés par Mirela Baciak, directrice du Salzburger Kunstverein en Autriche, pour ouvrir la porte de leur univers artistique à ces invités au regard aiguisé. Cette rencontre permet l’échange de vues sur le travail de l’artiste et sur des questions plus ouvertes sur l’actualité de l’art contemporain dans sa dimension aussi bien politique que sociale. Des discussions franches et riches qui sont une source de réflexion pour tous, mais qui permettent aussi pour certains artistes d’explorer de nouveaux horizons professionnels, puisque deux des artistes présentés dans le Focus 2022 auront, en 2024, d’importantes expositions monographiques grâce à l’invitation de professionnels ayant participé à l’événement.

Mirela Baciak, qui avait participé au Focus 2022 en tant qu’invitée, a immédiatement montré son intérêt pour curater l’édition 2023. Elle a opéré une sélection très diversifiée parmi les dizaines de portfolios envoyés qui s’est cristallisée autour de deux axes : les cultures queer et la crise climatique, mais dont le fil rouge résidait dans les valeurs communes partagées et exprimées par tous les artistes, aussi diverses et éclectiques que soient leurs pratiques.

Le partenariat avec la Luxembourg Art Week a permis au groupe de visiter la foire en exclusivité lors de la preview. Mais outre les formats déjà expérimentés l’an dernier, cette édition s’est aussi étoffée de nouveaux partenariats qui ont permis de diversifier l’offre faite aux professionnel.le.s. À la visite des expositions du Mudam Luxembourg, de la Konschthal Esch et du Casino Luxembourg – Forum d’Art Contemporain, se sont ajoutées celle de Vewa, lieu développé par le collectif Dkollektiv, et du centre d’art Nei Liicht à Dudelange qui présentait une exposition monographique de Letizia Romanini, et enfin la résidence d’artistes Bridderhaus à Esch-sur-Alzette, où l’artiste Claudia Passeri a accueilli les professionnel.le.s par un de ses dîners placés sous le sceau des « Papillons de résistance ».

Enfin, le Focus 2023 était centré sur le thème de la recherche artistique, des formes diverses qu’elle peut prendre, de son développement politique et de sa matérialité artistique. L’historienne et critique d’art Sandra Delacourt a donné une conférence à la Art Week sur le thème de L’Artiste chercheur comme figure dans l’air du temps mais aussi comme création politique à travers l’analyse du parcours de Donald Judd. Enfin, le Focus s’est clos par une après-midi de débats et d’échanges au Casino Display qui avait co-organisé avec Kultur | lx des pitch-présentations de chercheurs et d’artistes autour de leur pratique de la recherche, lesquelles ont été suivies de débats sur les questions d’actualité qui se posent aux artistes dans ce domaine.

Cette troisième édition a consolidé les liens existants avec des scènes voisines et ouvre des perspectives sur des territoires qui feront l’objet d’une mise en lumière au cours de l’année 2024, comme la Belgique et l’Allemagne. Un événement qui crée des retombées à moyen et long terme dont il convient désormais de faire fructifier l’apport.

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Du 27 au 30 novembre, l’IETM s’est rendu pour la toute première fois au Luxembourg. Organisée par Kultur | lx, la deuxième réunion Focus de l’IETM a abordé l’un des sujets cruciaux auxquels nous devons tous faire face : la crise climatique.

L’IETM Focus Luxembourg a été ouvert par le ministre de la Culture Eric Thill en présence de nombreux représentants du ministère de la Culture, impliqué à l’heure actuelle dans les réflexions sur l’écoresponsabilité du secteur culturel au Luxembourg.

Le programme était composé de rencontres avec les réalités locales engagées dans la culture et la transition écologique à Esch-sur-Alzette, de sessions de travail sur le sujet à neimënster, et de moments de réseautage informels aux Rotondes, ainsi que de créations contemporaines et de découvertes de la scène luxembourgeoise.

Ce fut également  le tout premier rassemblement au Luxembourg d’un réseau culturel aussi important, avec 122 participants venus de 21 pays sur 3 continents dont 32 du Luxembourg, membres du réseau IETM et autres professionnels du secteur du spectacle vivant. En tant que réseau international très influent, l’IETM défend la valeur des arts et de la culture et soutient les professionnels des arts du spectacle en facilitant les connexions internationales, l’accès aux ressources et en offrant un forum d’échange dynamique.

Les réunions sectorielles internationales jouent un rôle crucial en aidant les professionnels à développer leurs projets et à élargir leurs horizons, en établissant des réseaux avec d’anciens et de nouveaux amis et alliés, ainsi qu’en découvrant de nouvelles approches artistiques au monde dans lequel nous vivons.

Ces journées au Luxembourg ont apporté à l’IETM des contributions essentielles pour mettre en œuvre et promouvoir les changements culturels nécessaires pour un écosystème du spectacle vivant plus vert, lesquelles feront l’objet d’une future publication.

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PROPULSION est un cycle d’accompagnement et de mise en réseau à destination de porteurs de projets jazz et musiques apparentées en région Grand Est, au Luxembourg et en Belgique francophone.

Les lauréats, sélectionnés sur appel à candidatures, bénéficient de formations à la carte sur les thématiques de la diffusion, la production et la communication. Des artistes mentor.es de chaque pays apportent un regard artistique et des conseils aux lauréats.

La première édition du dispositif a permis aux groupes de Daniel Migliosi (Luxembourg) et Hugo Diaz (Région Grand Est, France) de bénéficier de l’accompagnement offert par l’équipe de la Compagnie Tangram et des mentors artistiques du dispositif, Stéphane Scharlé et Maxime Bender.

Cette seconde édition du dispositif amène avec elle quelques nouveautés. D’une part, l’arrivée de partenaires belges dans le programme, et la mise en place d’un second programme intitulé PropulsionWOMEN, destiné exclusivement aux musiciennes qui souhaitent développer des compétences dans le leadership de projet musical. Outre le fait de prendre part au parcours commun de PROPULSION, l’objectif des trois lauréates de chaque région sera de finaliser un projet artistique d’ici la fin de l’accompagnement, qui sera présenté en live auprès d’un des partenaires du réseau PROPULSION. Les lauréates bénéficieront d’un accompagnement en mentorat par une compatriote musicienne au parcours établi. Les mentores du dispositif sont Marion Rampal pour la région Grand Est, Claire Parsons pour le Luxembourg et Margaux Vranken pour la Belgique francophone.

Propulsion #2 propose aussi la seconde édition de son programme PropulsionBANDS destiné aux projets déjà existants qui souhaitent bénéficier d’un accompagnement dans leur développement de carrière et artistique. Les mentors du dispositif BAND sont Stéphane Scharlé pour la France, Jeff Herr pour le Luxembourg et Manuel Hermia pour la Belgique francophone.

Les deux programmes revêtent les objectifs suivants :

Les lauréat.e.s luxembourgeois.e.s de PROPULSION #2

PropulsionWOMEN | Veda Bartringer, guitare
Veda Bartringer est une multi-instrumentaliste luxembourgeoise. Elle découvre le monde du jazz à 17 ans, et suit des cours au Conservatoire d’Esch-sur-Alzette, au Conservatoire de Luxembourg et à l’école de musique de Dudelange. Lors de ces formations, elle a appris auprès de musiciens tels que Pit Dahm, Pol Belardi, David Laborier, Jacques Pirotton et Erik Teuwens.

À partir de 2017, elle poursuit ses études musicales supérieures en guitare jazz au Conservatoire royal de Bruxelles et y obtient Master en guitare jazz en 2022. Pendant ces 5 années d’études, elle a appris aux côtés des guitaristes Fabien Degryse, Victor Da Costa, mais aussi de François Decamps. Veda fait partie de plusieurs projets belges et luxembourgeois et a partagé la scène avec différents artistes.

Elle travaille actuellement sur plusieurs projets personnels, dont des projets en duo avec le saxophoniste Fabrice Muratore, le guitariste malgache Joël Rabesolo, un projet de guitare solo, ainsi que le Veda Bartringer Quartet.

Claire Besson, guitariste, est la lauréate de PropulsionWOMEN pour la Région Grand Est, et Lucia Pires, flûtiste basée en Belgique francophone, a été sélectionnée pour faire partie du dispositif.

PropulsionBANDS | The Metz Foundation, Joël Metz

Joël est un saxophoniste qui a étudié au Conservatoire d’Amsterdam et à l’école Codarts de Rotterdam. Depuis la fin de ses études musicales, il consacre sa carrière musicale à son groupe « The Metz Foundation » et travaille également avec le groupe de Josh Island, ainsi que le Luxembourg Jazz Orchestra. Il enseigne également au Conservatoire du Nord au Luxembourg.

Avec une appétence pour la multiphonie, Joël Metz cherche à combiner dans son jeu matériaux traditionnels et sons expérimentaux.

PropulsionBANDS a sélectionné les groupes Nobaban pour la Région Grand Est et Bodies pour la Belgique francophone.