Le Théâtre et le CCN de Namur, c’est l’histoire d’une double aventure : celle d’un centre scénique axé sur la création artistique, l’accompagnement des artistes.

La rencontre entre les deux pôles et leur savoir-faire se veut créateur de liens : entre les artistes et les citoyens, entre Namur et le monde, entre l’expérience intime à laquelle la découverte d’une œuvre nous invite et l’échange collectif qu’elle provoque. Complète et intense, l’aventure enrichit la proposition culturelle et propose des expériences où les spectacles et les rencontres, expositions, ateliers, scènes se font écho.

Théâtre de Namur
Place du Théâtre 2 – Namur

Le Théâtre national de la Communauté française est une institution théâtrale fondée à Bruxelles en 1945 par Jacques Huisman et René Hainaux comme Théâtre national de Belgique. Parmi les missions qui lui sont confiées : « contribuer à la diffusion de la culture, répandre le goût du théâtre de qualité, faire connaître en Belgique et à l’étranger le théâtre belge et relever la condition sociale et professionnelle des comédiens ». En 2004, l’établissement s’installe dans ses bâtiments actuels, boulevard Émile Jacqmain et devient le « Théâtre national de la Communauté française de Belgique ». Le nouveau Théâtre national de la Communauté française de Belgique comporte notamment une grande salle de 750 places, une petite salle de 250 places, un vaste foyer sur quatre étages avec deux bars, une salle de répétition, un studio son, etc. Depuis, 2008, le Théâtre National collabore régulièrement avec le Koninklijke Vlaamse Schouwburg (KVS), son pendant de langue néerlandaise, installé à Bruxelles dans le même quartier.

Théâtre National Wallonie Bruxelles
Emile Jacqmainlaan 111/115 – Brussel

Fondé et dirigé par le metteur en scène Daniel Scahaise entre 1998 et 2015, le Théâtre des Martyrs est depuis le 1er janvier 2016 sous la direction artistique du metteur en scène Philippe Sireuil. Ce théâtre, construit à l’emplacement de l’ancien cinéma Etoile, est le premier théâtre bâti par la Commission communautaire française de la Région de Bruxelles-Capitale. Le Théâtre des Martyrs comprend la grande salle de 356 places et la petite salle d’une capacité de 71 places, d’abord destinée à accueillir les répétitions, conférences et expositions, mais transformée en salle de spectacle destinée à accueillir des productions plus intimistes. Trois compagnies sont actuellement associées au théâtre dans le cadre d’une politique de compagnonnage : Théâtre en liberté, la compagnie Biloxi 48, animée par Christine Delmotte-Weber et La Servante, animée par Philippe Sireuil.

Théâtre des Martyrs
Place des Martyrs 22 – Bruxelles

Ancien marché couvert, tout de verre et d’acier vêtu, les Halles sont depuis bientôt 50 ans un lieu incontournable dans le paysage culturel bruxellois, belge et européen. Grâce à ses espaces aux volumes sans équivalent, elles offrent un lieu idéal pour réinventer les formes du spectacle, au-delà de la classique partition entre créateurs d’un côté et spectateurs de l’autre.

Bousculant les usages, les Halles résonnent avec l’envie de participation et d’engagement, égotiste ou collectif, qui caractérise l’époque numérique. Ouvertes aux espoirs et aux bouleversements contemporains, du quartier jusqu’au grand large du monde, elles cherchent à retrouver le meilleur d’une Europe toujours en quête de son destin. Danse, cirque, formes hybrides se côtoient pour offrir des moments de plaisir, de partage et d’émotion.

Les Halles accompagnent également les artistes en ascension, à travers une politique forte de coproduction pour les compagnies de Belgique et d’Europe, et de production déléguée pour les compagnies de la Fédération Wallonie-Bruxelles.

Halles de Schaerbeek
Rue Royale-Sainte-Marie 22 a – Schaerbeek

Mars – Mons arts de la scène, ce sont 6 salles (le Théâtre le Manège, Arsonic, la Maison Folie, le Théâtre Royal, l’auditorium Abel Dubois, et le 106) et une programmation déclinant les arts vivants sous toutes leurs formes ! Théâtre, musique, danse, humour, cirque, marionnettes, jeune public, gastronomie.

Née il y a près de 15 ans, l’identité du Manège, aujourd’hui Mars, s’est construite autour de deux événements majeurs. Sa création en 2002 constitue un bouleversement particulièrement ambitieux dans le paysage culturel montois donnant à la ville un lieu fabuleux pour la création contemporaine en association avec la scène éponyme de Maubeuge.

Les liens avec la France se renforcent lorsque, dans la foulée de Lille 2004, Capitale européenne de la Culture, sont ouvertes les Maison Folie de Mons et de Maubeuge. Ensuite, dans la perspective de Mons 2015, Capitale européenne de la Culture, l’institution ose alors un autre rapport à l’art et à la cité, s’imprégnant de son territoire et de son ancrage, tout en multipliant les collaborations internationales.

Mars – Mons arts de la scène
106, Rue de Nimy – Mons

Le centre chorégraphique Charleroi danse est une institution reconnue et subventionnée par la Fédération Wallonie-Bruxelles. Il propose une programmation ambitieuse et internationale à travers ses saisons et ses événements. Celle-ci est rythmée par deux temps forts, la Biennale internationale de la danse, durant les automnes impairs, et LEGS, tous les printemps, qui s’organise autour des enjeux de l’histoire de la danse. Une attention particulière est portée à la formation supérieure et à la médiation scolaire.

Le Centre déploie ses activités sur deux sites. À Bruxelles le site de « La Raffinerie » est un lieu dédié prioritairement aux professionnels. On y trouve 5 bureaux de production et de diffusion des compagnies de la Fédération Wallonie-Bruxelles, des cours réguliers et workshops, des résidences de recherche et ouvertures de studio ainsi qu’une programmation spécifique. À Charleroi, le site des « Écuries » est ouvert en permanence à différents publics. Avec une programmation régulière et un accompagnement approprié, les publics bénéficient d’un réel enrichissement à l’art chorégraphique. Artistes émergents ou de renommée, belges ou internationaux, génération actuelle ou inscrite dans l’histoire de la danse, tous concourent à enrichir le regard du spectateur.

charleroi-danse.be
Les Écuries – Charleroi Danse
Bd Pierre Mayence 65c, Charleroi

Le Théâtre de l’Ancre est fondé en 1967 par trois amateurs Jacques Fumière, Eric Sustendal et Jean-Michel Thibault. Le théâtre ne dispose pas de salle, les représentations ont lieu au Conservatoire de Charleroi et à l’Hôtel de Ville. En 1982, L’Ancre emménage dans son bâtiment actuel, ancien dépôt de batteries. Le théâtre prend de l’ampleur, se professionnalise et construit son public. L’Ancre devient un véritable théâtre de création. En 2008, Jean-Michel Van den Eeyden devient directeur artistique de L’Ancre, puis directeur général du théâtre en 2010. Avec la nouvelle équipe en place, il défend un théâtre de création qui porte un regard sur le monde, participatif, ouvert sur d’autres arts, d’autres publics. En 2023, l’Ancre se transformera avec la construction du nouveau bâtiment, lieu culturel fédérateur et véritable espace citoyen. Une infrastructure dotée de deux salles, adaptée aux réalités actuelles des arts de la scène et qui permettra de rayonner encore davantage en Belgique et à l’étranger.

Théâtre de l’Ancre
Rue de Montigny 122 – Charleroi

Théâtre de Liège, Centre Scénique de la Fédération Wallonie-Bruxelles.
À cette appellation s’ajoute celle de Centre européen de création théâtrale et chorégraphique, eu égard à ses missions de production et de diffusion au rayonnement local, régional et international en matière de théâtre et de danse contemporaine.

Depuis l’arrivée de Serge Rangoni à sa tête en 2004, l’Institution s’est considérablement développée, présentant chaque saison une quarantaine de spectacles dont une dizaine de créations. Parallèlement à la programmation « saisonnière », le Théâtre de Liège propose un an sur deux le festival Émulation, dédié aux jeunes compagnies belges francophones. S’ajoute à ce panel de découvertes, la biennale internationale « Pays de Danses », voyage vers toutes les formes de l’art chorégraphique contemporain international ; le Festival IMPACT dédié aux rapports entre les arts de la scène et les nouvelles technologies dans une optique de coopération des secteurs de la Culture, de la Recherche, de la Formation et de l’Entreprise ; le Festival Corps de Textes …

Théâtre de Liège
Place du 20-Août 16 – Liège

Peut-on encore mourir d’amour ? concerne… l’amour. Ce sentiment mystérieux, imprévisible et capricieux est déconcertant pour les maniaques du contrôle. Selon la sociologie, son expression est acquise et non innée. On dit qu’elle évolue avec ses représentations culturelles et les normes sociales actuelles. La Belgique, en 2022, est une société hétéronormative patriarcale. En tant que femme, que pouvez-vous faire si vous voulez vivre des histoires d’amour romantiques et passionnées mais égalitaires et libres de normes ?

Sur scène : deux femmes, une baignoire, des fleurs et un synthétiseur. Judith et Ophélie, interprétées par Stéphanie et Lisa, sont amies. Elles chantent souvent (de Coup de Soleil de Richard Cocciante à des chansons contemporaines et leurs propres compositions).

Ils font référence à la culture pop et à la culture au sens large (de Love Actually à Marguerite Yourcenar) pour parler d’amour, de patriarcat, de femmes mortes et de femmes vivantes, de lesbianisme politique et d’amitié.

Dans le cadre du Festival de Liège
Salle B16
Rue Ransonnet, 2 – Liège
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Un personnage, qui prétend être l’écrivain américain David Foster Wallace, tente de raconter l’histoire de sa vie et de son suicide mais il est constamment interrompu par des acteurs et actrices brandissant des pancartes avec des liens internet vers des contenus cachés, ce qui change brusquement la scène et plonge le public dans un tourbillon de situations.

Avec son rythme effréné, Overload (prix UBU de la meilleure émission en 2018), sorte de « gigantesque smartphone collectif », nous oblige à faire face à des questions toujours plus lancinantes : dans quelle mesure choisissons-nous vraiment de zapper frénétiquement ?

Dans quelle mesure sommes-nous manipulés par tous ces médias ? À quel point notre incapacité à nous concentrer sur les choses essentielles qui méritent vraiment notre attention augmente-t-elle ?

Dans le cadre du Festival de Liège
Le Manège Fonck
Rue Ransonnet, 2 – Liège
Réservez votre billet

Jacky, The king of farandole et toute l’équipe du Festival de Liège vous invitent à « survolter » une dernière fois, le dancefloor de l’édition 2019 du Festival de Liège.

Dans le cadre du Festival de Liège
Le Manège Fonck
Rue Ransonnet, 2 – Liège

Entrée gratuite sans réservation sur présentation d’un billet de spectacle